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Photographie
Ariane Fornia journaliste photographe

J’ai toujours été passionnée de photographie et je suis très attachée à l’idée du carnet de voyage, où le texte et les images se répondent harmonieusement pour reconstruire un monde, un souvenir fugace…

ariane fornia photographe

En pleine action en Camargue

Journaliste-photographe, j’ai le plaisir d’écrire et d’illustrer les rubriques voyage de Version Femina et de La Revue. De façon ponctuelle, mes photos apparaissent aussi dans d’autres médias.

Ariane Fornia photographe

Dossier sur la Provence romantique réalisé pour Version Femina en février 2018 (texte et photos).

 

Ariane Fornia journaliste photographe tourisme

Reportages textes + photos réalisés en 2018 pour Version Femina

 

Confession sincère d'une blogueuse : les blogueurs sont ils sincères ? les blogueurs détruisent ils la planète ? Blog et écologie, influenceurs et sincérité

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Mes photos de Camargue illustrant un bel article de Laurence Haloche dans le Figaro en novembre 2017.

 Je travaille aussi régulièrement pour des marques et offices du tourisme, pour qui je réalise des reportages avec cession des photos.

 

Que voir et que faire sur l'Aubrac ? Activités et choses à voir à Laguiole et Brameloup, brame du cerf, burons, fromages. Blog Aubrac, nord Aveyron

Extrait d’un reportage réalisé pour l’Aveyron : le plateau de l’Aubrac.

Sauf mention contraire, toutes les photos qui figurent sur Itinera Magica sont les miennes. La plupart peuvent être achetées, n’hésitez pas à me contacter pour plus d’informatons. Voici le matériel que j’utilise.

Mon boîtier : Canon 5D Mark IV

Après avoir travaillé plusieurs années avec mon 750D, j’ai éprouvé le besoin de passer au plein format, c’est-à-dire, d’avoir un capteur plus sensible qui me permette de mieux gérer les basses luminosités. Ayant toujours utilisé du matériel Canon, il était logique que je reste dans la famille, mais pourquoi le 5D Mark IV ? C’est un boîtier exceptionnel, qui livre des images de très, très grande qualité, et dont la richesse et la diversité des fonctions permettent une personnalisation presque infinie. J’ai longuement hésité avec son prédécesseur, le 5 D Mark III, lui aussi d’excellente qualité, mais deux éléments m’ont convaincue de passer directement au IV : le wifi intégré au boitier, indispensable pour publier en direct ou presque sur les réseaux sociaux, et la présence d’un intervallomètre dans les fonctions du boîtier. Petit secret : c’est avec l’intervallomètre que je prends les photos de moi quand je suis seule !

Top things to do in Martinique & best beaches in Martinique : this is why you should discover this affordable Caribbean destination!

Photo réalisée grâce à l’intervallomètre : je demande à l’appareil de déclencher une photo toutes les 3 secondes jusqu’à ce que je dise stop, et je n’ai qu’à poser…

Seul inconvénient : oui, il est lourd, et ses objectifs aussi. Il m’arrive encore de l’abandonner au profit du 750D lors de longues randonnées.

Mes objectifs Canon pour le 5D Mark IV, et les filtres associés

Sur mon 5D Mark IV, je monte deux objectifs de série L (la série professionnelle de Canon).

Le Canon 24-70mm f/2.8 L II USM est l’objectif que j’utilise maintenant 90% du temps. Pour moi, c’est une merveille absolue, et j’en ai rêvé pendant des mois avant de me l’offrir : je pense sincèrement que c’est un des meilleurs objectifs au monde, sans exagération aucune ! Une telle qualité d’image sur l’ensemble de la plage focale pour un objectif allant du grand angle au zoom, c’est une prouesse rare. Ne pas avoir à changer d’objectif pour photographier une grande variété de sujets me repose vraiment. Etant donné qu’il est tropicalisé et doté de joints étanches – comme le 5D Mark IV – je ne m’inquiète pas trop en cas de pluie soudaine, et peux photographier même en Ecosse ou aux Açores… De plus, l’ouverture constante à 2.8 me permet de l’utiliser en basse lumière ou en intérieur. Bref, un bijou…

Je l’utilise avec trois filtres en 82mm de marque Hoya :

* un filtre protecteur, afin de le préserver des rayures éventuelles (n’utilisez jamais un objectif nu, surtout un objectif de cette valeur… mieux vaut remplacer un filtre à 80 euros qu’un objectif vingt fois plus coûteux) : il n’a aucune autre fonction que de protéger l’objectif et ne change pas l’image.

* un filtre polarisant circulaire (CPL), en cas de forte luminosité ou quand je photographie des surfaces aquatiques : cela permet d’éliminer les reflets et d’avoir la profondeur de l’eau en transparence. C’est pour moi un accessoire indispensable en photo de paysage, surtout si vous aimez les lacs, les plages… Le fait qu’il soit circulaire permet d’ajuster le degré de polarisation (vous modifiez en tournant la bague).

* un filtre ND (neutral density), un filtre sombre qui permet de diminuer fortement la quantité de lumière qui entre et de créer ainsi des poses longues, pour une cascade par exemple. Ce filtre ne peut s’utiliser qu’avec un trépied.

Le deuxième objectif que j’utilise sur mon 5D Mark IV, c’est le zoom Canon 70-200mm f.2/8 L USM. Il me permet de zoomer plus loin que le 24-70 et possède lui aussi une qualité d’image remarquable, y compris à 200mm sur des sujets très éloignés, ce qui est loin d’être le cas de tous les zooms… L’ouverture constante à 2.8 permet de l’utiliser en basse lumière. Le piqué est vraiment excellent, j’adore cet objectif. Un seul défaut : oui, il est lourd et encombrant ! C’est pour moi le maximum d’encombrement acceptable, et c’est pourquoi je ne souhaite pas posséder un 300, 400 ou 500mm. Celui-ci répond à mes besoins.

Pour lui aussi, j’ai les trois mêmes filtres Hoya, cette fois en 77mm : protector, ND et polarisant.

Il m’arrive aussi occasionnellement d’utiliser la focale fixe Canon 50mm 1.8, un très bon objectif pour les portraits, pas cher et très peu encombrant. Je l’utilise par exemple au restaurant, quand je ne veux pas me faire remarquer avec un objectif énorme. L’ouverture à 1.8 permet de l’utiliser en très basse lumière à main levée.

Mon autre appareil Canon, pratique et polyvalent : le 750D

Si vous cherchez un appareil reflex de bonne qualité, pas trop cher et ultra pratique pour le voyage, ne cherchez plus : le Canon 750D est génial. Il a tout ou presque, une très belle qualité d’image avec ses 24 mégapixels, wifi, écran amovible (tellement pratique !), des menus riches et intuitifs, il est fiable et facile d’utilisation tout en permettant une utilisation avancée pour ceux qui maîtrisent les modes M, Av et Tv. Je l’ai utilisé avec bonheur pendant longtemps et je continue à l’avoir en boîtier de dépannage, ou dans des cas où mon 5D Mark IV me paraît trop lourd et encombrant.

Je vous conseille de mettre 200 euros de plus et d’acheter le kit qui comprend l’objectif 18-135mm, et non le 18-55mm : le 18-135 est très au-dessus en qualité d’image, et plus polyvalent.

Le meilleur grand angle Canon pour les APS-C

Vous n’avez pas d’appareil plein format, mais vous cherchez un excellent grand angle pour votre APS-C ? Voici l’objectif que j’ai adoré utiliser avec le 750D : le Canon 10-22mm f.3.5/4.5 USM. C’est avec lui que j’ai pris toutes les photos de paysage lors de notre road trip en Arizona, notamment. Cet ultra grand angle présente une belle qualité d’image sur l’ensemble de l’image, avec assez peu de distorsions (excepté à 10mm, mais cela se corrige facilement sous Lightroom). Attention, il n’est pas compatible avec les appareils plein format – je ne peux pas l’utiliser sur le 5D Mark IV, tout comme mes autres anciens objectifs Canon.

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Photo réalisée au 10-22 à Antelope Canyon, Arizona.

 

Mon trépied

Pour tout un tas de situations (pose longue, me prendre moi-même en photo, composer parfaitement une photo de paysage, basse luminosité, photo nocturne…), un trépied devient nécessaire. J’utilise le BeFree de Manfrotto, léger, stable et fiable.

Sous l’eau : photos aquatiques

Sous l’eau, j’utilise l’Olympus Tough 4, qui est à mon sens un appareil vraiment fait pour le milieu aquatique : je trouve ses photos sous l’eau plus belles que ses photos terrestres ! Je me suis régalée aux Caraïbes avec lui. Il est totalement étanche jusqu’à 10 mètres, résiste à un choc de 2 mètres, bref, c’est aussi un bon appareil pour les sports mouvementés. Mais je vous déconseille de l’avoir en appareil unique si vous êtes passionnés de photo : le petit capteur gère mal les contrastes élevés, type coucher de soleil, et on manque d’options de personnalisation. Il a été remplacé désormais par l’Olympus Tough 5, qui est paraît-il encore mieux et améliore la qualité d’image.

ariane fornia photographe

Photo prise à l’Olympus TG4 en Martinique.

 

Dans les airs : le drone

Dans les airs, j’utilise un drone Phantom 3. J’en parlais longuement dans l’article Photographier avec un drone.

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Drone en Martinique.

Post-production

Photographiant en RAW, je dois « développer » mes photos dans un logiciel photo adapté. J’utilise la suite Adobe Creative Cloud avec Lightroom et Photoshop. C’est Lightroom que j’utilise dans 90% des cas, j’adore ce logiciel pratique et intuitif.

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